>>> Muzik an sich… (Germany) – 27.04.2021

« Olá, qu’est-ce que l’on entend dans les écouteurs ? Un son psychédélique d’une grande finesse, des basses imposantes, des voix féminines vaporeuses qui se superposent et s’entremêlent. Une section rythmique entraînante qui claque. Ça alors : il y a deux batteurs. Le tout parfois soutenu par des boîtes à rythme. On peut y ajouter des sons de synthétiseur aériens, mélodiques et tourbillonnants, comme s’ils provenaient d’un piano électrique Wurlitzer bizarre.
Quand on jette un coup d’œil à la couverture – une photo sombre en noir et blanc d’une femme à l’air furieux ou désespéré, qui ressemble d’un côté à une femme du 17e siècle et d’un autre à une femme du début du Postpunk et de la New Wave. One Arm est le nom du combo et vient de France. Après un EP, Mysore Pak est leur 1er album et de 12 titres vraiment cool qui auraient très bien pu s’intégrer au temps de la nouvelle vague. Je pense qu’ils auraient été parfaitement à leur place entre les premiers Cure, Siouxie, X-Mal Deutschland, Clan of Xymox ou d’autres. Et parmi les voix et les harmonies brumeuses, on pense aussi aux divins Cocteau Twins.
Il y a toutefois une originalité : ils sont beaucoup plus psychédéliques, ils travaillent avec beaucoup de bruits parasites, de sons brouillés et d’échantillons de voix. Leur son est plein, imposant et pourtant souvent basé sur des compositions très simples. Il n’y a aucune connotation péjorative dans toutes mes comparaisons et références précédemment énumérées. Parce qu’ils réussi à mixer leur son avec de nombreux sons de l’art rock des années 90 et 00, ont probablement entendu la musique de musiciens d’art rock expérimental comme Kammerflimmer Kollektief ou Strings Of Consciousness et ont laissé s’exprimer des sons orgasmiques.
Mais à la fin, les chansons fortes l’emportent toujours, les ambiances changent constamment mais le son de base fort et constant reste. Il y a aussi du rock (« Cit »), suivi d’une bande sonore sombre qui tourne en boucle, avec des tambours au rythme martial, une basse sombre et mélodique, de larges sons de synthétiseurs tourmentés et des échantillons de voix effrayants (« b.o. »).
Oh, je pourrais écrire des pages et des pages ! Mais vous ne devez pas lire, seulement écouter. Procurez-vous cet album génial qui est rétro d’une manière ingénieuse et vous rappellera les grands débuts du rock alternatif, il le fait de manière si justement ambitieuse et indépendante que vous pourriez l’appeler : la renaissance de l’art rock alternatif. J’espère que le vinyle sera bientôt disponible pour ce premier candidat à l’album de l’année.
« 

Wolfgan Kabsch

>>> Aural Aggravation (UK)
by Christopher Nosnibor – 3 February 2021
Chronique de l’album « Mysore Pak »
« For the primitive production feel and the simplicity of basslines that just loop endlessly, Mysore Pak is so much more than a hipsterish replica of real life that skips along nicely. As accessible as this album is, it’s got more depth and more instant biteback than you would ever imagine. An album that steps out of time and spans infinite time and space, it’s got a lot going for it.« 


>>> African Paper (Germany)
Comeback von One Arm mit Beiträgen u.a. von Little Annie February 5, 2021



>>> Alara Music
Two drumsets, two bass guitars, field recordings and samples. Originally a three-piece girls lineup, they gently migrated into a hybrid orchestra (both organic and electronic), a band with a perfectly respected parity (two women, two men) which creates its own musical style at the crossroads of noise rock, dub, ancestral asymmetrical music, industrial music, no-wave… guided by this captivating and mysterious female voice imprinted with the hypnotic calls of cold wave.” *

>>> Sounds & Groove (Italy) click—april 2021


>>> Rock Obrobje (Slovenia)
« Mysore Pak » chronicle


>>> N I T E S T Y L E Z . D E (Germany)
« Mysore Pak » chronicle
« Recommended for fans of Vivien Goldman and likeminded artists. And everyone else.« 


>>> Muzzart magazine (France)
Chronicle for « Mysore Pak »
« … À chacun de ses titres, One Arm défie le prévisible. Soniquement schizophrène, One Arm refuse le soin. Dans sa démence, il est à sa place…« 

>>> Muzzart (France)
Interview by Will Dum – January 2021

>>> Muzzart (France)
One Arm “Treat/Brilliant” (EP 7’,Réédition. Atypeek Music, 15 janvier 2021). January 21, 2021


>>> TRUST (Germany)

<= « Une formation inhabituelle avec deux batteurs, deux basses et des samples. Lors des concerts, un guitariste se joint à eux. Pourquoi ce type de formation, ou juste pour quoi faire ? Aucune idée. Mais sur cet album, ils sont rejoints par quelques invités supplémentaires, dont Little Annie. Le quatuor parisien présente son premier album dans une superbe esthétique No Wave, glaçante mais pas trop radicalement déconstructive. Enregistrées entre 1998 et 2016, les douze morceaux rappellent Sonic Youth, tandis qu’Alara Music s’incline devant ‘Space Is The Place‘ ».


>>> Ondarock (italy)
« Mysore Pak » Chronicle- April 2021


>>> MusicMap (Italie)
Chronique de « Mysore Pak »

Mars 2021 : « Descrivere gli ingredien qui è poca cosa ; è il tentare di spiegare come sono sta messi, che è di cile, ma è quello che rende par colare questo disco oscuro ma pieno di crea vità.« 


>>> BlowUp (Italie)
Chronique de « Mysore Pak » – Mars 2021 =>


« Deux basses, deux batteries, une machination électronique et un répertoire qui roule en mid-tempo sur une autoroute bordée de paysages kaléidoscopiques. Une mécanique surlignée d’un chant intelligemment répétitif rendant l’atmosphère mélodique de leurs nouvelles compositions
i m p a r a b l e .
« 
>>> Un Ortie Show


« … Du visuel simple et sans superflu à la qualité du son, one arm nous emmène dans ses rêves magiques et fluides, comme de simples gouttes d’eau …« 
>>> Foestustriel

« Une musique toujours aussi inclassable. Un Moonshake sous influence orientale, les années 80 passées au karcher, un truc aussi vaguement dansant que flippant, mélancolique et froidement mélodique. Hypnose toujours, obsession rythmique, samples parfaitement intégrés à un monde impressionniste, compos qui ne font que passer, en pointillé, bidouillages électro pour semer encore plus la pagaille et faire perdre toutes notions de temps et de style, science du rythme tordu, enchevêtré, groove bizarrement dansant, maladivement tribal, chants féminins qui font planer ou fantomatiques, charme suranné et groupe sans attache, One Arm n’a toujours pas d’équivalent.« 
>>> Pertes et fracas